Nous ne soupçonnons pas les ressources qui gisent en nous.
Laurent n'avait rien d'un meneur. Il aura fallu un licenciement violent et le départ de sa femme Sylvie pour voir enfin cet ouvrier de la Contilis prendre les armes. Le voici à la tête d'une bande d'ingénieux tocards prête à disputer la Coupe du monde de football des sans-emploi.